< 2040>
Voyage au cœur de futurs
numériques responsables
Le Numérique
sauvera le genre humain
TEMPS DE LECTURE : 5 MIN
Bientôt, dans un futur près de chez vous
2030, la démocratie participative fait partie du quotidien des pays. Cette démocratie participative correspond à la prise en compte des citoyens. Economie, redistribution, transparence de la contribution carbone des citoyens, au niveau local comme national, la démocratie revit et les citoyens se pensent un avenir en commun.
Synopsis
L’humanité doit apprendre à dépasser ses mauvaises habitudes sous peine d’en subir des conséquences catastrophiques dans les années à venir. Les années 2010 ont montré qu’en plus de la perte de repères des sociétés, les technologies numériques ont renforcé leur dégradation et leurs extrémisations. Les années 2020 auront été une décennie de prise de conscience et de reprise en main face à l’urgence de repenser la solidarité. Les géants du numérique doivent repenser leurs algorithmes (méthodes de calculs) pour modérer, voire effacer les effets néfastes du numérique, mais également les réorienter pour encourager les comportements pro-environnementaux. Internet a cessé d’être à l’origine de tensions pour devenir l’utopie numérique, de partage du savoir et du rapprochement des humains. Le harcèlement en ligne a été modéré, les comportements addictifs ont été combattus. Le numérique s’est même mis au service d’une meilleure santé mentale. Pour contrer la société de la méfiance, dans ce climat numérique apaisé, les institutions ont pu s’appuyer sur une démocratie participative active et concernée. Dans ce nouveau contexte, des consensus ont pu être trouvés pour affronter de façon pacifique et organisée les défis économiques et environnementaux du siècle.
La société de 2040
La société de 2040 est une société apaisée, où la démocratie connaît un second souffle. C’est une société qui a conscience des limites de la pensée humaine. Les institutions en ont tiré les conséquences pour assurer leur survie et le bien-être des citoyens. C’est une société où les extrêmes ont été perçus comme l’ennemi numéro un des États, des populations et de la planète.
Plusieurs évolutions sociétales ont fait advenir ce futur. Les tensions entre gagnants et perdants de la mondialisation rendent les gouvernances intenables. Il devient indispensable de guérir les sociétés pour sauver les institutions. Le temps passe et les changements environnementaux radicaux impliquent de créer un accord majeur où chacun accepte ses nouveaux droits et de nouvelles responsabilités. La révolution écologique se fera avec les peuples. Il faut donc les réconcilier.Au niveau numérique, des effets négatifs sont relevés. Il semble attiser des biais de pensée trompeurs et délétères. Chaque grande zone économique cherchera sa solution pour le réguler. La désinformation devient un ennemi public numéro un partout dans le monde. Des effets positifs sont également relevés. La société de la méfiance impliquera une transparence absolue. Le Web affirme sa structure ouverte et partagée, condition nécessaire à l’idéal démocratique qu’il doit soutenir. Le numérique revoit ses algorithmes (méthodes de calcul) pour se diriger vers le bien commun et il devient source de bien-être mental. Les réseaux sociaux n’exploitent plus nos biais de pensée trompeurs pour capter sans limite notre attention. Au contraire, il les utilise au service de l’émergence de comportements pro-environnementaux. Enfin, il y a une volonté de surmonter la fracture numérique : tout le monde doit pouvoir participer.
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